George Ebers at the Sinai Monastery - sees the c. 1840 Cyrillus manuscript - wrote of Sinaiticus

Steven Avery

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  • Page 319

    Nach dieser glücklichen Entdeckung hatte Tischendorf grosse Schwierigkeiten, welche namentlich durch die Nicht- bestätigung des neuerwählten Erzbisehofs vom Sinai Kyrillos durch den Patriarchen von Jerusalem verursacht wurden, zu überwinden, um die Handschrift als Gabe der zu solcher Schenkung geneigten Mönche in den Besitz des Kaisers Alexander U von Bussland überzuführen. Indessen ward es ihm gestattet, eine Abschrift des ihm erst am 28. September 1859 im Kloster der Väter vom Sinai in Kairo zu wissen- schaftlicher Bearbeitung auf unbestimmte Zeit vertrauensvoll ttbergebenen Codex zu veranstalten, der endlich, nachdem sich Tischendorf, um den Mönchen ihr Recht und dem Kaiser gültige Titel auf den Besitz der köstlichen Handschrift zu verschaffen, unerhörten geistigen und körperlichen Anstren- gungen unterzogen hatte, und nachdem der Codex von sei- nem Entdecker in glänzender Weise publicirt worden war*"), nach der Bestätigung des neuen Erzbischofs Kallistratos in aller Form als Geschenk des Sinaiklosters in den Besitz des Kaisers von Russland gelangt ist. Erst nach dem Eingange

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    Eingehendere Notizen über die Sinaibibel, ihre Ent- deckung, Herausgabe und Erwerbung findet der Leser in der mehrfach citirten neuesten Schrift des gelehrten zu frttb verstorbenen Entdeckers (Anmerk. 307), welcher letztere mir auch im mttndlichen Verkehr manche interessante Mittheilung zukommen Hess, und mir gütigst gestattete, die im Biblio- thekstheile nachzulesenden Abschnitte aus neueren Briefen des Erzbischöfs Kallistratos an ihn^^^) zu veröffentlichen. Aus diesen freilich offiziellen Schreiben scheint hervorzu- gehen, dass die frommen Väter vom Sinai befriedigt und dem deutschen Gelehrten mit Dankbarkeit ergeben waren;

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    312. (8. 320.) Wir geben die mitzutheilenden Abschnitte der Briefe des Bischofs Kallistratos an v. Tischendorf nach den griechischen Originalen. Obgleich sich die byzantinischen Phra- sen der 8inaiten schwer in deutscher 8prache wiedergeben lassen, so haben wir sie doch zu übersetzen versucht. .

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    Codex Sinaiticus. Briefe des Kallistratos an v. Tischendorf. 589
 

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>) «I made an estimate of the whole nuraber of books by countine the
shelves an the volumes on two or three ; and found it in this way to be about
fifteen hundred volumes. (Biblical Researches, I, p. 99).
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étudié les manuscrits du Sinaï avec beaucoup d'attention •), prit
la peine de suggérer au P. prieur du couvent la nécessité dei>
faire un catalogue ’). Personne île lui dit alors que sa suggestion,
était superflue, le travail désiré étant proche de sa réalisation
ou peut être même déjà réalisé. Un religieux nommé Cyrille était,
venu du Mont Athos au Sinaï peu après 1840. C’est en octobre
1842 que W. Bartlett mentionne déjà un bibliothécaire du cou-
vent, sans le nommer, avec une sympathie profonde et carac
térise des traits qui peuvent convenir au P. Cyrille seul ’). Un,
an plus tard, en 1843, A. Oumanetz fit connaissance du P. se-
crétaire du couvent dont il ne'donne pas le nom, mais admire
les hautes qualités de l'esprit et de l’attitude; il ajoute une in-
formation importante que ce moine ait occupé dans sa vie sé-
culière lè haut rang d’un secrétaire d’état à la cour d’un des
princes de Moldavie où il faisait briller son esprit et l’élégance
de ses manières*). Donc, il n’était pas Grec d’origine'). L’ar

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chimandrite P. Ouspenski n’a connu le P. Cyrille en 1845 et 1850
que comme secrétaire du couvent et surtout comme un excel-
lent chantre qui n’avait rien de ton nasal des Grecs ') dans son
chant : ce détail en confirme bien la caractéristique donnée par
Oumanetz. Le P. Cyrille, homme intelligent et instruit, poète et
musicien, s’acquittait de sa fonction du bibliothécaire du cou-
vent avec tant de zèle et dévouement, qu’un catalogue des li-
vres grecs, tant imprimés que manuscrits, sorti de ses mains, se
trouvait prêt au moment de l'arrivée de Tiscliendorf (mai 1844) ).


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Mais s’il faut croire que Tischendorf l’a utilisé, il est certain
que, dans la suite, d’autres voyageurs n’ont pas réussi ne fût-
ce qu’à voir ce travail, qui, tout défectueux qu il ôtait sans doute,
.les aurait pourtant aidés dans leurs recherches; Ebers est seul
à l’avoir vu pour un instant on 1871 et pouvait nourrir le vain
espoir d’en obtenir une copie 1).

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